• Quand les stations météo lancent des avis de violente tempête, Pour un voilier ,ou un autre bateau, il ne fait pas bon sejourner en pleine mer.

    C'est arrivé il y a  quelques mois. Voici des images de la furie des élements-

    Quand la colère n'a pas de limite

    Quand la colère n'a pas de limite

    Quand la colère n'a pas de limite


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  • Heureuse béatitude d'un  voyage au dela des mers. Le vent court sur l'immensité bleutée, et forme l'écume qui s'envole en disparaissant dans le ciel azur.

    Le navire se balance au rythme des vagues. Superbe spectacle que cet océan tranquille qui sait aussi se revolter dans des colères océanes, et montrer sa puissance, aux frèles esquifs qui glissent sur l'onde....

    Azucena-luz

    Heureuse béatitude...


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  • La navigation reprit son cours normal. Dans cette zone, les courants sont forts, et il y a des "marmites". Ce sont des maelstroms : tourbillons qui plongent vers le fond de la mer.  Un équipier chargé de changer la voile d'avant prit soin de monter la voile a l'envers. J'entendis le skipper lui lancer des noms d'oiseaux, alors je me proposais de remettre les choses a l'endroit, car a l'époque pas d'enrouleur de voile, il fallait endrailler ( accrocher les mousquetons apres le hauban)  et  descendre la voile sur le pont, et enfin la hisser a l'endroit.

    Une vague vicieuse me déséquilibra, et je passais par  dessus bord. Une peur panique m'empoigna, je luttais dans des mouvements désordonnés, : Je voulais quitter mes bottes afin qu'elles ne m'entrainent pas vers le fond. Je recevais les vagues en pleine figure. Le skipper avait lancé la bouée de sauvetage  reliée au bateau par un solide cordage.manoeuvres osées  que j'attrapais  avec l'énergie du désespoir.. L'équipage me remonta a bord. Ouf !

    Evidemment je ruisselais. Le skipper s'approcha de moi et me lança : Tu n'as pas du bon matériel, tu ne devrais pas etre moulliée..!!!???


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  •  Nous naviguins deja deouis quelques heures, bercés par une houle régulière, je remontais mon duvet, fermais les yeux goutant ce plaisir marin.

    A peine installée, la voix tonitruante du chef de bord m'appela. Je devais sortir  de mon cocon bien chaud - dur, dur ! J'enfilais mon ciré et mes bottes, et penetrais dans le cockpit  glacé. Le chef me dit :"Tu sera seule pendant une heure, fais pas le c.. J'avais  horriblement froid, mais d'un seul coup horriblement chaud.

    L'etat de la mer était monté d'un cran, je regardais les voiles en me disant si le vent monte encore, il faudra réduire la toile. Toute seule , je n'y arriverai jamais ! En effet le vent souffla plus fort, et avec toute la toile , il prit une inclinaison tres peu confortable., ce qui reveilla le reste de l'équipage. La barre était de plus e plus dure a tenir. Le skipper (ou chef de bord) sortit en vitesse et en hurlant :"Tu vas nous coucher le bateau !". Il me prit la barre, mit le bateau dans le lit du vent et reduisit la toile. Je croyais que mon quart d'heure étit passé, mais on me rappela. Beaucoup de bateau en mer, il fallait faire de la veille - Je ne me doutais pas un  instant de ce qui allait m'arriver........AU LARGE.. entre amis


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